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Directeurs de thèse Carruthers Leo Martin Retirer
Directeurs de thèse Gile Daniel Retirer
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- Auteur
- Delphine Le Corfec
- Résumé
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- En 1473-1474, un marchand anglais installé à Bruges, William Caxton, imprime pour la première fois un livre en anglais : le Recuyell of the historyes of Troyes. Il s’agit d’une traduction d’un succès récent de la littérature curiale bourguignonne, le Recueil des histoires de Troyes de Raoul Lefèvre. Le texte d’origine est également imprimé avant la fin de l’année 1475 pour Caxton. Cette thèse porte sur les traductions réalisées et diffusées par William Caxton reflétant l’ensemble d’un savoir médiéval mais apparaissant comme moderne à la fin du XVe siècle. La source principale en est le premier livre imprimé en anglais qui constitue un exemple de texte ancien revenu à la mode par le biais d’une réécriture. Un premier volume est consacré au commentaire. Il s’agit, dans une première partie, de souligner les aspects originaux ou traditionnels des traductions et des éditions de Caxton. La deuxième partie porte sur l’édition pour Caxton du Recueil en français et son impact. Une troisième partie est attachée à l’analyse des procédés de traduction et l’influence du Recuyell dans l’histoire littéraire anglaise.Dans le second volume, l’édition comparée du Recuyell of the historyes of Troyes et du Recueil des histoires de Troyes imprimés pour Caxton, permet d’étudier les procédés de traduction utilisés par l’homme de lettres mais également les logiques présidant à l’impression de textes. Pour imprimer le texte français, Caxton ou ses associés ont, en effet, choisi une version différente du manuscrit ayant servi de base à sa traduction anglaise. Un dernier volume est dédié aux annexes (bibliographie, éditions d’autres traditions, glossaire, tables généalogiques, etc.).
- Disicipline
- Études médiévales
- Date
- Soutenue le 18/01/2020
- Sous la direction de
- Leo Martin Carruthers
- Organisme
- Sorbonne université
- École doctorale Mondes anciens et médiévaux (Paris)

- Auteur
- Lucille Chevalier
- Résumé
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- 16 extraits d’interprétations télévisées et webstreamées ont été écoutés, commentés et évalués par un panel de 62 non-interprètes et 7 interprètes. Les réactions des non-interprètes donnent à penser que l’interprétation fonctionne en ce sens qu’elle semble plus ou moins transparente pour eux et ne fait pas écran à la réception du discours de l’orateur·trice. Les commentaires portent sur la forme de l’interprétation plus que sur le contenu. Il apparaît que les non-interprètes (PNI) prêtent attention à certains paramètres déjà étudiés dans la littérature (notamment intonation et fluidité) mais également à certains (méta)paramètres jusqu’ici peu explorés (équilibre des volumes sonores ; image de l’orateur·trice telle que transmise par l’interprétation ; transmission de la charge émotionnelle de l’original). Aucun paramètre ne ressort comme décisif pour l’évaluation globale de la qualité. Les paramètres de qualité ne sont pas abordés seulement isolément ; ils interagissent, et notamment, la perception de la forme et celle du fond semble étroitement liées, et la confiance de l’auditeur semble déterminée par plusieurs facteurs relatifs à la forme et au contenu. Des différences apparaissent entre interprètes et non-interprètes : les interprètes semblent plus sensibles à la forme textuelle ; seuls les non-interprètes ont signalé de fausses erreurs ; les non-interprètes semblent écouter en priorité le message, et lorsqu’ils réagissent à l’interprétation per se, ce n’est souvent que dans un deuxième temps.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 20/09/2019
- Sous la direction de
- Daniel Gile
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Mohannad Alhalaki
- Résumé
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- La présente thèse tente d’identifier les difficultés et les spécificités linguistico-culturelles marquantes qui relèvent de l’environnement de l’interprétation (français/anglais-arabe) aussi bien en pratique qu’en formation. L’interprète arabophone utilise le dialecte au quotidien mais doit s’exprimer en arabe littéraire moderne dans les conférences internationales. Il fait alors face à une variété d’arabe non acquise depuis la naissance qui est sensiblement différente des dialectes locaux, notamment sur le plan morphosyntaxique. Ainsi, l’interprète arabophone peut être amené à déployer plus d’efforts que l’interprète francophone ou anglophone dans la production de son discours (traduisant quant à eux vers leur langue maternelle) et à travailler à proximité de la saturation cognitive (Gile, 2009). Nous avons collecté des données par trois moyens : a) un questionnaire rempli par 35 praticiens et enseignants de l’interprétation de conférence, b) deux types d’enquêtes par entretien, l’une auprès de 12 interprètes professionnels, et l’autre auprès de 14 étudiants et 8 enseignants-praticiens appartenant à 4 établissements et c) par l’analyse d’un corpus d’enregistrements de l’interprétation de 2 discours. Les explorations empiriques réalisées ont permis d’identifier un certain nombre de difficultés linguistiques que rencontrent les praticiens en activité ainsi que les enseignants et les étudiants participant à une formation d’interprètes. Nous y retrouvons notamment ce qui concerne la redondance dans le discours arabe et les difficultés qui découlent de la spécificité de l’arabe. L’ALM, notamment en phase de production orale, ne serait pas considéré comme une langue « A » au sens de l’AIIC. Il s’apparenterait plutôt à une langue « B ». Tous les participants ont mis l’accent sur la difficulté de la maîtrise de leur langue « A », l’ALM. L’analyse de corpus a notamment soulevé un grand nombre de fautes et de maladresses linguistiques dans le produit oral des interprètes professionnels. De ces constats, il résulte qu’il est important d’améliorer la maîtrise active de l’ALM chez les interprètes et les étudiants. Le perfectionnement linguistique dont il est question ne peut se faire par une simple immersion linguistique dans un pays arabophone. Il faudra en effet des efforts ciblés.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 12/01/2019
- Sous la direction de
- Daniel Gile
- Organisme
- Sorbonne Paris Cité
- École doctorale Langage et langues (Paris)

2014PA030106
Traduction nawdm d'une lettre paulinienne
- Auteur
- Hélène Ballarin-Ducasse (Ballarin)
- Résumé
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- Le plaisir de découvrir les œuvres de l’antiquité et d’ouvrir à l’infini la possibilité de lire dans sa langue les auteurs du monde entier passe par le labeur de la traduction. Cette thèse présente un cas d'espèce, celui de l’expérimentation d’une méthode adaptée à une culture africaine pour traduire la correspondance épistolaire de l’Apôtre Paul. Le peuple nawda dans le Nord du Togo, de tradition orale, privilégie une vision communautaire des relations et conçoit le travail dans sa dimension collective. Pour eux, traduire c’est aussi interpréter collectivement
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 06/12/2014
- Sous la direction de
- Daniel Gile
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Sophie Pointurier-Pournin (Pointurier)
- Résumé
- Lire le résumé
- En partant du cadre conceptuel des modèles IDRC (Interprétation-Décisions-Ressources- Contraintes) et du modèle d'Efforts de l'interprétation simultanée de Daniel Gile entre langues vocales, nous tenterons d'analyser le processus de l'interprétation en langue des signes et étudierons la charge cognitive inhérente au passage d'une langue vocale (canal audio-vocal), à une langue signée (canal visuo-gestuel). Nous analyserons en premier lieu l’ensemble des contraintes concourant à l’exercice de l’interprétation en langue des signes pouvant se distinguer de celles généralement observées en interprétation entre langues vocales (nous incluons les langues vocales syntaxiquement très éloignées) telles que les contraintes socio-économiques, les contraintes linguistiques et enfin les contraintes d’espace. Nous procéderons ensuite à une analyse cognitive du processus de l’interprétation en nous référant au modèle d'Efforts de l’interprétation simultanée de Gile (Effort d'Écoute et d'Analyse, Effort de Mémorisation à court terme, Effort de Production, Effort de Coordination de ces trois activités simultanées), et nous chercherons à envisager sa transposition aux langues des signes. Pour mieux comprendre les mécanismes constitutifs du processus, nous observerons particulièrement le concept de scénarisation (Séro-Guillaume, 2008) pour une première analyse de la charge cognitive de l’interprète en action. Cette capacité de représentation synthétique visuelle est-elle plus ou moins grande si on prend en compte le degré d'abstraction du discours, la technicité de l'énoncé, le manque de correspondances lexicales, le contexte de l'interprétation (pédagogique, conférence, etc.), la préparation ? Notre analyse du processus se base sur un corpus constitué de plusieurs études empiriques d’interprétations vers la langue des signes : une étude semi-expérimentale, une étude de cas naturaliste et une étude expérimentale, ainsi que sur des interviews d’interprètes et un focus group. Les observations faites sur l’ensemble de ces études nous ont permis de croiser nos données et de dégager les éléments pertinents de nos résultats pour une avancée dans la compréhension du processus cognitif de l’interprétation en langue des signes.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 01/07/2014
- Sous la direction de
- Daniel Gile
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Daeyoung Kim
- Résumé
- Lire le résumé
- Cette thèse analyse les pratiques actuelles de l’enseignement de la traduction dans les universités et les écoles professionnelles en Corée, par comparaison avec la situation en France, à partir d’entretiens, de QCM et de l’observation de cours de traduction. L’objectif est de reconnaître les particularités de la situation en Corée et d’en repérer les principales difficultés. Il apparaît que les facteurs socioculturels coréens, tels que la société autoritaire et collectiviste, induisent des cours centrés sur l’enseignant et la passivité des élèves. Nous découvrons aussi le faible niveau de créativité des étudiants coréens du fait d’un recours systématique à la mémorisation et aux QCM dans le système éducatif coréen. L’évaluation orientée processus et l’évaluation diagnostique font largement défaut tant à l’université qu’à l’école professionnelle de traduction, où l’évaluation est sommative plus que formative. Sous forme d’évaluation microstructurelle, les enseignants coréens pratiquent une évaluation globale et variable qui leur est personnelle, par manque de critères précis et concrets d’évaluation et de barème commun ayant force de directive. L’accent est mis sur les compétences linguistiques et textuelles plus que sur les autres compétences, au constat établi que ce sont celles qui font le plus défaut aux étudiants, aussi bien à l’université qu’à l’école professionnelle. Il y a peu de différences entre les étudiants coréens de l’université et de l’école professionnelle en matière de recherche d’informations. Malgré les difficultés particulières affectant les cours de traduction à l’université, la possibilité existe d’y former à la traduction professionnelle.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 11/05/2013
- Sous la direction de
- Daniel Gile
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Hande Ersoz-Demirdag
- Résumé
- Lire le résumé
- La présente recherche se propose de décrire, d’analyser et de comprendre les problèmes des étudiants en phase d’apprentissage de l’interprétation consécutive avec le turc et le français comme paire de langues de travail et d’étudier leur évolution. Il porte sur la possibilité ou non d’enseigner les principes et les techniques de base de l’interprétation consécutive à des étudiants qui ne sont qu’en licence et qui n’ont pas nécessairement une maîtrise de la langue étrangère suffisante pour être admis à un programme de formation d’interprètes de haut niveau. Le corpus, constitué de transcriptions des prestations des étudiants, de notes prises en consécutive et de témoignages rétrospectifs, a été exploité dans le cadre conceptuel des Modèles d’Efforts de Daniel Gile, de manière à essayer de remonter à l’origine des faiblesses des étudiants. Les résultats présentés font apparaitre une nette progression chez les étudiants entre deux étapes dans la formation, qui s’observe sur des éléments décrits dans la littérature comme faisant partie du savoir-faire de l’interprète professionnel. Ils suggèrent que les étudiants ont effectivement appris les principes et les techniques de base de l’interprétation bien qu’ils ne soient pas dans une école spécialisée en interprétation, ni dans un programme de Master, ce qui constitue une réponse positive à la question de recherche. En outre, la présente recherche discute de la spécificité linguistique de la paire de langues concernée, et de l’intérêt méthodologique de démarche triangulaire adoptée. Des pistes de recherche sont enfin proposées.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 04/04/2013
- Sous la direction de
- Daniel Gile
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Elizabeth Kelly-Penot (Kelly)
- Résumé
- Lire le résumé
- Cette thèse propose d’explorer les enjeux de la pratique de la traduction de français en anglais après la Conquête normande, à partir d’une comparaison des deux romans anglais et leurs sources respectives. La première partie s’attachera à examiner le rapport entre le Roman de Brut, écrit au 12e siècle par l’auteur francophone Wace, et sa traduction en anglais, le Brut de La3amon, effectuée au début du 13e siècle. Une autre étude constituera l’essentiel de la seconde partie, portant sur l’examen comparatif de deux versions, française et anglaise, du roman d’Alexandre le Grand : le Roman de toute chevalerie de Thomas de Kent et Kyng Alisaunder, roman anonyme du 14e siècle.
- Disicipline
- Etudes médiévales anglaises
- Date
- Soutenue le 20/01/2012
- Sous la direction de
- Leo Martin Carruthers
- Organisme
- Paris 4
- École doctorale Mondes anciens et médiévaux (Paris)

- Auteur
- Maria Nasr
- Résumé
- Lire le résumé
- Cette thèse est une analyse scientométrique d’un corpus de 542 textes sur la didactique de la traduction publiés entre 1966 et 2009. L’objectif est de voir à travers une analyse des citations quels auteurs ont influencé ce domaine et quels sont les titres, les langues, les supports et les domaines de textes les plus cités. La plupart des auteurs les plus cités sont des traductologues non didacticiens. L’approche fonctionnaliste et l’approche linguistique de la traduction sont les courants de pensée les plus présents parmi ces auteurs dont l’influence est surtout théorique et méthodologique (méthodes d’enseignement). Les textes didactiques reflètent le poids des institutions européennes puisque la plupart des auteurs cités se trouvent sur ce continent. Les auteurs français sont cités presque uniquement par des auteurs du monde francophone alors que les germanophones les plus cités ont de l’écho auprès d’auteurs d’horizons variés. La plupart des écrits les plus cités sont des monographies de recherche traductologique publiées dans les années quatre-vingt dix par des enseignants et praticiens de la traduction. Les écrits les plus citées entre 1966 et 2005 sont des textes de recherche traductologique non didactiques alors que la période 2006-2009 est marquée par les textes didactiques sur la traduction non littéraire. Les articles d’ouvrages collectifs et de revues sont moins cités que les monographies et les auteurs citent davantage de textes anciens que récents. La majorité des textes cités sont écrits en anglais. Par ailleurs, les auteurs du corpus sont très influencés par les écrits traductologiques non didactiques et peu par des textes d’autres domaines.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 16/06/2010
- Sous la direction de
- Daniel Gile
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Laurent Lagarde
- Résumé
- Lire le résumé
- Cette thèse analyse les stratégies de traduction et l’acquisition de connaissances à partir d’entretiens et de questionnaires envoyés à des traducteurs techniques indépendants. L’objectif est de voir si les stratégies de traduction sont influencées par des facteurs que le traducteur peut plus ou moins maîtriser et si l’expérience, la formation en traduction et-ou dans un domaine et, les langues de travail jouent aussi un rôle. Il apparaît que la pression du temps influence la décision d’accepter ou de refuser une traduction et que sous cette pression, le traducteur ne consulte pas les mêmes documents, acquiert moins de connaissances et, passe moins de temps à l’archivage. Le manque de sources pose des problèmes aux traducteurs de langues peu répandues. La création terminologique, l’analyse du texte, l’aide de la source humaine et l’archivage des informations sont plus systématiques pour ces traducteurs que pour ceux de langues répandues. Le traducteur spécialisé attache moins d’importance à la technicité du texte de départ que celui sans spécialisation, achète plus de documents et évalue plus facilement le temps qu’il consacrera à la recherche documentaire. Les « jeunes » traducteurs voient un lien fort entre la technicité du texte et sa difficulté, préfèrent utiliser des sources donnant des réponses immédiates aux problèmes, consultent et achètent moins de sources sur support papier que les traducteurs expérimentés. Internet a marginalisé l’utilisation et les achats de sources sur support papier mais ne permet pas forcément de se spécialiser. Avec Internet, le client accorde des délais plus courts et les traducteurs acceptent de traduire des textes plus techniques.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 11/09/2009
- Sous la direction de
- Daniel Gile
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)
