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Écoles Doctorales École doctorale Langage et langues (Paris) Retirer
Directeurs de thèse Laplace Colette Retirer
1 - 4 sur 4
Nombre de résultats par page
- Auteur
- Ludovica Maggi
- Résumé
- Lire le résumé
- Dans la présente thèse nous formulons une réflexion sur la traduction des classiques du théâtre à travers les trois catégories traductologiques de l’herméneutique, de l’oralité et de la temporalité. A cet effet, nous envisageons la traduction comme le résultat d’un processus herméneutique concernant l’œuvre dans sa totalité. Au centre de ce processus, nous plaçons le sujet traduisant, dont la culture individuelle – à son tour reflet et déclinaison de la culture collective de l’espace-temps cible – constitue l’horizon d’interaction avec l’œuvre source. En découle la saisie d’un Sens total, au-delà du simple sens textuel, qui inclut une inscription dans la temporalité et l’identification d’une théâtralité, tout particulièrement vocale. Posant cette construction comme hypothèse de fond, nous recherchons les marques d’une telle interprétation de l’œuvre dans l’oralité de la traduction. Nous imaginons cette dernière comme la projection d’une voix performée et la concevons comme un tissu composite dans lequel les dimensions linguistique, rythmique et vocale participent à la construction d’un discours contemporain sur l’œuvre classique, le théâtre du passé, le théâtre du présent, sur la traduction elle-même et sa relation au temps. Un corpus de traductions italiennes contemporaines de Phèdre et Dom Juan destinées à la représentation scénique constitue la pierre de touche pour la vérification de notre hypothèse, tout en apportant un éclairage sur la réception des classiques du théâtre français en Italie.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 01/02/2019
- Sous la direction de
- Colette Laplace
- Organisme
- Sorbonne Paris Cité
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Essam Al-Mohaya
- Résumé
- Lire le résumé
- Cette thèse se propose d’explorer le phénomène de l’explicitation en traduction et d’observer la mise en œuvre de la stratégie d’explicitation dans un grand corpus composé de traductions en arabe du Monde Diplomatique (MD) durant la période 2001-2011. Elle s’articule autour de cinq questions centrales : Qu’est-ce que l’explicitation ? Qu’est-ce qu’on explicite ? Pourquoi ? Pour qui ? Comment ? Pour mener à bien cette investigation, nous avons élaboré un appareillage conceptuel dont la Théorie Interprétative de la Traduction (TIT) constitue le socle et auquel les autres approches traductives ont apporté des outils conceptuels et méthodologiques complémentaires. A la lumière des travaux antérieurs, nous avons d’abord tenté de redéfinir le concept de l’explicitation afin de déterminer les caractéristiques de cette stratégie ainsi que ses fondements théoriques. Ensuite, nous nous sommes penché sur l'analyse du corpus du MD composé d’environ 5000 exemples d’explicitation en contexte. Grâce à l'analyse discursive des décisions d’explicitation prises par les traducteurs du MD, nous avons pu dégager cinq problématiques principales qui suscitaient leur intervention et six techniques par le biais desquelles ils mettaient en œuvre les explicitations dans les textes arabes. Enfin, nous proposons cinq maximes susceptibles d’optimiser l’application de cette stratégie de sorte à permettre aux lecteurs cibles d’accéder aisément au sens des textes sources. L’explicitation devient pour nous un travail de marqueterie qui consiste à insérer dans le fil du texte des suppléments informationnels pertinents, mais surtout limités au strict nécessaire. Tout est question de « bon sens ».
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 07/05/2015
- Sous la direction de
- Colette Laplace
- Organisme
- Sorbonne Paris Cité
- École doctorale Langage et langues (Paris)

2015USPCA007
Le traducteur en tant que médiateur culturel - L'exemple de Rifâ'a Al-Tahtâwî (1801-1873)
- Auteur
- Lamiss Azab
- Résumé
- Lire le résumé
- Malgré l’ancrage de la médiation et de la médiation culturelle en traductologie surtout depuis le Tournant Culturel, il manque encore à ces notions une définition traductologique arrêtée. Partant des apports provenant de différents domaines – notamment la communication culturelle – et prenant appui sur une théorie causale de la traduction, nous proposons une réflexion en trois temps sur le traducteur comme médiateur culturel et sur ses interventions délibérées, dans une approche identitaire, textuelle et fonctionnaliste. Nous sondons la particularité de la construction identitaire du traducteur, acteur marqué par sa formation linguistique et par ses normes socioculturelles d’origine, mais très empathique envers l’Autre et son système normatif. Dans ce premier volet, les stratégies traductives sont étudiées en miroir des stratégies identitaires déployées par le traducteur pour préserver cohérence et valorisation de sa construction identitaire. Ensuite, nous considérons le texte et le type de texte à traduire comme des créations culturelles que le traducteur re-présente à sa communauté, en lui rendant la différence abordable aux niveaux formel, lexical et discursif. Pour ce faire, il déploie une panoplie de stratégies traductives variant de la norme rédactionnelle la plus conformisante à la plus différenciatrice. Dans ce deuxième volet, la préface du traducteur est étudiée comme un lieu de médiation directe, pour informer et recommander la lecture. Enfin, nous analysons deux finalités traductives par lesquelles le traducteur agit sur l’identité culturelle de sa communauté par le biais de sa re-présentation : la formation intellectuelle et la déconstruction/re-construction identitaire. Que ce soit à travers de simples textes ou des institutions à caractère éducatif, l’objectif premier du traducteur est d’informer le lecteur et, par cette information, il agit sur la re-définition de fondements essentiels de sa construction identitaire.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 16/01/2015
- Sous la direction de
- Colette Laplace
- Organisme
- Sorbonne Paris Cité
- École doctorale Langage et langues (Paris)

2012PA030094
Traduire la philosophie : quelque part dans l'inachevé. : le souffle cartésien dans la langue de Cervantès
- Auteur
- Susana Mauduit-Peix Geldart
- Résumé
- Lire le résumé
- A la charnière de deux disciplines, (philosophie et traductologie), ce travail se propose d’explorer les enjeux de la traduction des œuvres philosophiques, et d’en illustrer la portée sur un corpus de textes de Descartes (Discours de la Méthode, Méditations métaphysiques avec Objections et Réponses) et de Pascal (Pensées) dans leurs traductions en espagnol. Notre travail est structuré en trois parties. Dans un premier temps, nous nous proposons d’analyser les enjeux typologiques (spécificité intrinsèque de cette modalité traductive face notamment à la traduction littéraire, d’une part, et à la traduction des textes pragmatiques, techniques ou scientifiques, de l’autre), textuels (caractéristiques discursives du style et des genres philosophiques) et « logosophiques » (problématique de la prétendue « philosophicité » de certaines langues, comme le grec ou allemand, au détriment d’autres, comme l’espagnol). Ensuite, nous entreprenons une première approche du projet traductif en analysant tour à tour le contexte éditorial, le positionnement du traducteur en amont de l’entreprise traductive et les différentes étapes du processus de traduction, afin de dégager les notions opératoires permettant de procéder à l’analyse du corpus. Enfin, la troisième partie s’efforce d’illustrer les problématiques abordées, suivant trois axes étude i) du contexte d’énonciation (enjeux de la diachronie, dimension intertextuelle, espace retraductif), ii) de la place fondamentale que joue le concept dans la traduction philosophique (analyse en parallèle des concepts cartésiens en français et en espagnol) et iii) des enjeux de l’argumentation (choix de la langue, contraintes génériques, rôle du style).
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 23/09/2012
- Sous la direction de
- Colette Laplace
- José Luis Fuertes Herreros
- Organisme
- Paris 3
- Universidad de Salamanca (Espagne)
- École doctorale Langage et langues (Paris)
