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Nombre de résultats par page
- Auteur
- Malgorzata Mandola
- Résumé
- Lire le résumé
- Les études linguistiques les plus récentes admettent que les noms propres sont souvent traduits, ou adaptés, par opposition aux anciennes théories sur la non-traduisibilité des noms propres.Ce qui distingue les toponymes du reste de l’onomastique, ce sont les implications politiques, sociologiques et historiques qui concernent une bonne partie des noms géographiques. Dire « Breslau » pour la ville polonaise « Wrocław » peut avoir une connotation négative selon le contexte. Et pourtant, nous rencontrons très fréquemment cette forme surInternet. De plus, on observe avec la mondialisation la multiplication de nombreuses versions du même toponyme.Le travail présenté ici est composé de trois parties. La première partie présente de manière brève les théories concernant les noms propres, mais adaptées aux toponymes, et la deuxième décrit leurs fonctions, ainsi que leur statut linguistique par rapport à la normalisation internationale. Le concept de la toponymie synchronique-contrastive et les méthodes d’analyse des toponymes selon cette approche sont introduits dans la partie 2.La partie trois est une analyse du corpus qui a pour le but d’observer les structures et l’intégration des toponymes polonais dans la langue française ainsi que leur usage populaire dans les publications courantes (sur Internet, dans les brochures touristiques, dans les applications et réseaux sociaux, etc.), qui diffère de l’usage officiel, censé être politiquementcorrect.
- Disicipline
- Linguistique
- Date
- Soutenue le 07/07/2017
- Sous la direction de
- Marie-Claude Le Bot
- Organisme
- Rennes 2
- École doctorale Arts, Lettres, Langues (Rennes)

- Auteur
- Dalia Aly Mohamed Aly
- Résumé
- Lire le résumé
- La traduction est une activité linguistique qui joue un rôle primordiale dans la vie des différentes communautés humaines. Considérée comme moyen de communication et de connaissance de l’autre, plusieurs disciplines lui ont été consacrées. Au XVIIIème siècle, la faculté des langues (al-Alsun) a été instaurée en Égypte par Rifāʽa al-Tahtāwī, l’auteur de Taḫlīṣ al-ibrīz fi talḫlīṣ Bārīz. Cette œuvre a été traduite au XXème siècle par Anouar Louca sous le titre de l’Or de Paris. L’Étude présente porte sur une œuvre qui présente une description minutieuse du séjour de Rifāʻa al-Ṭahṭāwī en France, à savoir le Taḫlīṣ al-ibrīz fi talḫīṣ Bārīz. Cette œuvre appartient à l’époque de la Nahḍa de la littérature arabe.L’étude porte sur quatre chapitres : Le premier chapitre entame analyse esthétique comparée du Taḫlīṣ et de l’Or de Paris. Le chapitre explique les manifestations des deux versants de la Nahḍa dans le Taḫlīṣ et les stratégies adoptées par Louca dans son Or de Paris.Le deuxième chapitre présente une analyse sociolinguistique du Taḫlīṣ et de l’Or de Paris. Cette analyse met en lumière le lien intrinsèque entre la langue et la société. Une comparaison de l’œuvre dans sa langue source et sa traduction mettra l’accent sur la stratégie de Louca et sur les différences entre l’original et la traduction.Le troisième chapitre porte sur la problématique de la fidélité selon la théorie interprétative. La marge de liberté et les procédés utilisés par Louca seront discutés. Le quatrième chapitre est une analyse sémantique sélective d certains passages dans le Taḫlīṣ et leurs représentations dans l’Or de Paris. L’analyse va porter sur le titre, le premier paragraphe et la traduction faite par Rifāʻa al-Tahtāwī de la charte constitutionnelle de 1814. Les quatre chapitres procèdent par une mise en parallèle de l’œuvre original et de sa traduction.Nous reconnaissons la difficulté de la tâche assumée par Louca vu la richesse de l’œuvre de Rifāʻa al-Tahtāwī qui représente un tournant dans l’histoire de la littérature arabe. La spécificité culturelle, esthétique, historique et linguistique constitue un vrai défi à la traduction.
- Disicipline
- Linguistique
- Date
- Soutenue le 19/10/2012
- Sous la direction de
- Heidi Toelle
- Salwa Hussein Abd El Moneim Husseim
- Organisme
- Paris 3
- Université de Helwan
- École doctorale Langage et langues (Paris)
