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- Auteur
- Kagiso Jacob Sello
- Résumé
- Lire le résumé
- Notre constat de départ est que malgré un intérêt croissant des institutions enseignant les langues étrangères pour l’enseignement de la traduction, il n’existe à notre connaissance aucune étude portant sur la conception d’un programme de traduction professionnelle adapté à des apprenants de langues étrangères qui leur permettrait d’acquérir la compétence traductionnelle, c’est-à-dire les savoirs et savoir-faire nécessaires au traducteur en contexte professionnel. Ces institutions confondent souvent l’enseignement de la traduction et la traduction utilisée comme outil d’enseignement des langues étrangères. Le programme de traduction de l’université du Botswana ne fait pas exception, et nous proposons donc de le reconceptualiser afin qu’il réponde aux exigences de la profession. Par la mise à l’épreuve du modèle de l’analyse matricielle définitoire, outil linguistique destiné à interpréter et comparer la manière dont les langues naturelles construisent le sens, la présente thèse se propose de déceler les paramètres de l’environnement d’apprentissage sur lesquels une intervention est requise pour améliorer la qualité du programme et le rendre plus efficace. Pour ce faire, nous analyserons les erreurs de traduction commises par les étudiants qui suivent ce programme en vue d’en identifier les sources et de prendre les mesures destinées à en réduire la probabilité d’occurrence par la définition d’objectifs d’apprentissage adaptés à ce public, accompagnés des bases d’une solide assise théorique à destination de l’enseignant.
- Disicipline
- Linguistique
- Date
- Soutenue le 06/03/2013
- Sous la direction de
- Amr Helmy Ibrahim
- Organisme
- Paris 4
- École doctorale Concepts et langages (Paris)

- Auteur
- Anna Popis (Walicka)
- Résumé
- Lire le résumé
- L’objectif des études théoriques et expérimentales présentées dans ce travail était de cerner à l’aide des critères objectifs fiables un niveau optimum de découpage textuel pour la traduction spécialisée assistée par un système de mémoire de traduction (SMT) pour les langues française et polonaise. Afin de réaliser cet objectif, nous avons élaboré notre propre approche : une nouvelle combinaison des méthodes de recherche et des outils d’analyse proposés surtout dans les travaux de Simard (2003), Langlais et Simard (2001, 2003) et Dragsted (2004) visant l’amélioration de la viabilité des SMT à travers des modifications apportées à la segmentation phrastique considérée comme limitant cette viabilité. A la base des observations de quelques réalisations effectives du processus de découpage textuel dans la traduction spécialisée effectuée par l’homme sans aide informatique à la traduction, nous avons déterminé trois niveaux de segmentation potentiellement applicables dans les SMT tels que phrase, proposition, groupes verbal et nominal. Nous avons ensuite réalisé une analyse comparative des taux de réutilisabilité des MT du système WORDFAST et de l’utilité des traductions proposées par le système pour chacun de ces trois niveaux de découpage textuel sur un corpus de douze textes de spécialité. Cette analyse a permis de constater qu’il n’est pas possible de déterminer un seul niveau de segmentation textuelle dont l’application améliorerait la viabilité des SMT de façon incontestable. Deux niveaux de segmentation textuelle, notamment en phrases et en propositions, permettent en effet d’assurer une viabilité comparable des SMT.
- Disicipline
- Linguistique
- Date
- Soutenue le 14/12/2013
- Sous la direction de
- Amr Helmy Ibrahim
- Teresa Tomaszkiewicz
- Organisme
- Paris 4
- Uniwersytet imienia Adama Mickiewicza (Poznań, Pologne)
- École doctorale Concepts et langages (Paris)

2012PA040016
Étude du lexique de l’agriculture dans des textes documentaires français du treizième siècle
- Auteur
- Julia Alletsgruber
- Résumé
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- Cette thèse de doctorat, qui fait partie du projet des « Plus anciens documents linguistiques de la France », s’inscrit à la fois dans le domaine de la linguistique et dans celui de la philologie. L’étude lexicologique qu’elle propose est basée sur des documents d’archives du XIIIe siècle et s’accompagne de la transcription de deux corpus de chartes inédites. L’analyse détaillée de cinquante mots liés au champ lexical de l’agriculture, présentée sous forme de dossiers lexicologiques, constitue le noyau du travail. Les apports nouveaux que les dossiers permettent d’obtenir en matière de sens et de formes nouveaux, de réseau sémantique et d’étymologies corrigées sont présentés à la suite des dossiers. La méthode d’analyse intensive qu’ils adoptent fournit un complément indispensable à la lexicographie existante et sa méthode extensive. L’étude comporte en outre une réflexion sur le rôle des chartes vernaculaires dans l’élaboration et le changement linguistiques, à travers notamment le lexique.
- Disicipline
- Linguistique
- Date
- Soutenue le 01/03/2012
- Sous la direction de
- Martin-Dietrich Glessgen
- Jean-Pierre Chambon
- Organisme
- Paris 4
- Universität Zürich
- École doctorale Concepts et langages (Paris)

- Auteur
- Sara Ralić
- Résumé
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- Cette thèse propose une analyse de l’expression figée en tant que signe linguistique complexe, stable, variable et dynamique et en tant que problème de traduction à partir d’un corpus composé d’œuvres littéraires contemporaines françaises et de leurs traductions serbes. Le discours met en évidence la distance entre la signification du modèle et le sens de l’expression figée sémantiquement accomplie imbriquée dans le texte, dont l’une des réalisations est le défigement qui, lui, ne consiste simplement pas à renverser les critères syntaxiques, mais à élaborer un nouveau signifié de synthèse au service des stratégies discursives de l’énonciateur. Ce travail identifie les mécanismes linguistiques propres à l’expression figée et incontournables dans l’acte de traduire, ainsi que les incompatibilités entre les problèmes de sa traduction et certaines propriétés qui lui sont attribuées. Les problèmes que pose la traduction de l’expression figée dans le texte littéraire, dont elle façonne la progression narrative, excèdent la dichotomie entre la solution éthique et la solution ethnologique. Ils relèvent de la façon dans le locuteur établit le lien entre la conceptualisation inhérente à l’expression figée, elle-même construite sur la base des concepts préexistants - d’où l’image mentale et la charge connotative -, et la réalité à laquelle il l’applique. Sa traduction, eu égard à sa complexité pragma-sémantique, exige forcément une approche sourcière dans la phase interprétative et une solution cibliste.
- Disicipline
- Linguistique
- Date
- Soutenue le 25/11/2015
- Sous la direction de
- Christiane Marque-Pucheu
- Organisme
- Paris 4
- École doctorale Concepts et langages (Paris)

- Auteur
- Daniel Henkel
- Résumé
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- La position défendue ici est que l'étude quantitative parallèle d'un phénomène linguistique, effectuée dans desconditions identiques, permet de mieux comparer deux systèmes linguistiques que l'étude du mêmephénomène en traduction. En l'occurrence, ce sont les catégories adjectivales de l'anglais et du français quiont été étudiées. Des critères d'identification communs ont été définis dans une perspective typologique.Ensuite, dans deux corpus bilingues traduits de 10 000 mots chacun, environ 1 800 SN ont été recensés etétiquetés manuellement dans chaque langue comme étant sans épithète ni attribut, ou bien avec épithète, oubien avec attribut, ou bien les deux en même temps. D'autres paramètres contextuels (déterminant, fonctionsyntaxique du SN, présence de SP et/ou de relatives, gradation, classe sémantique du nom recteur) ont aussiété pris en compte dans l'étiquetage manuel. Deux corpus littéraires de 5 millions de mots dans chaquelangue ont aussi été réunis selon des critères communs, et étiquetés par catégories grammaticales. Desrecherches par expressions rationnelles ont permis d'établir pour chaque adjectif sa prédisposition à lafonction épithète ou attributive, et sa réceptivité à la gradation. L'étude quantitative parallèle a permis deconstater des convergences entre l'anglais et le français en ce qui concerne les rapports entre adjectifs etdéterminants, des divergences quant aux interactions avec les prépositions, et d'établir une corrélationstatistique entre la compatibilité avec la fonction attributive et la réceptivité à la gradation. Cependant,aucune de ces tendances n'apparaît clairement dans le recensement des traductions auxquelles les adjectifsont donné lieu.
- Disicipline
- Linguistique
- Date
- Soutenue le 06/12/2014
- Sous la direction de
- Pierre Cotte
- Organisme
- Paris 4
- École doctorale Concepts et langages (Paris)

- Auteur
- Marine Espinat
- Résumé
- Lire le résumé
- Ce travail s’est donné pour objectif d’étudier les unités polylexématiques (mots complexes, groupes ou énoncés) idiomatiques telles qu’elles sont employées dans l’interaction orale. L’étude s’inscrit dans la perspective de l’analyse conversationnelle, d’une part, reposant sur un corpus (allemand et français) de radio libre antenne comprenant douze heures d’enregistrement, et dans la perspective de l’analyse du discours, d’autre part, puisqu’une large place est accordée au type de discours à l’œuvre, marqué par les récits d’émotions et d’expérience. Quelles spécificités caractérisent les unités polylexématiques idiomatiques dans leur emploi ? Quelles particularités, sur le plan cognitif notamment, se font jour ? Quelle est leur ampleur réelle dans l’interaction orale ? Entravent-elles ou facilitent-elles l’intercompréhension ? Tels sont les questionnements au cœur de ce travail. L’environnement discursif des unités étudiées révèle, à l’échelle nanostructurelle, des caractéristiques telles que leur polyfonctionnalité communicative et leur nodalité dans le discours. À une échelle microstructurelle, l’analyse des échanges met au jour des fonctions (d’illustration, de dissimulation, et de représentation) et une disposition à la persistance cognitive de ces unités. Dans ces observations transparaissent les propriétés fondamentales des unités au cœur de ce travail : la stabilité et l’idiomaticité. Elles prennent cependant une tout autre dimension, et revêtent d’autres formes d’apparition, dans la confrontation à un corpus d’interaction orale.
- Disicipline
- Linguistique
- Date
- Soutenue le 06/12/2015
- Sous la direction de
- Martine Dalmas
- Organisme
- Paris 4
- École doctorale Concepts et langages (Paris)

- Auteur
- Rosa Elin Davidsdóttir
- Résumé
- Lire le résumé
- Cette thèse porte sur la lexicographie bilingue, plus précisément entre l’islandais et le français, avec comme objectif de jeter les bases d’un nouveau dictionnaire islandais-français qui serait accessible en ligne. Pour cela, nous avons rédigé des articles de dictionnaire en nous appuyant sur une nouvelle base de données lexicographiques développée pour des dictionnaires bilingues en ligne avec l’islandais comme langue source (ISLEX). Nous nous concentrons sur les besoins des utilisateurs islandais voulant s’exprimer en français mais nous partons du principe que le dictionnaire devrait également servir aux francophones. À travers notre traitement lexicographique, nous portons une attention spéciale à la syntagmatique et au traitement des locutions plus ou moins figées dans un dictionnaire bilingue. En effet, nous estimons qu’un bon dictionnaire bilingue devrait accorder une importance particulière aux unités phraséologiques telles que les collocations et les locutions figées de sens figuré. Après avoir étudié le rôle et la structuration idéale des dictionnaires bilingues selon les différentes fonctions qu’ils peuvent avoir, celle de l’encodage et celle du décodage, nous passons ensuite à une discussion sur la phraséologie et l’importance des locutions figées et semi-figées dans les dictionnaires bilingues. Nous présentons, par la suite, la microstructure de nos articles ainsi que les outils et les ressources informatiques sur lesquels nous nous appuyons. Les résultats de notre réflexion sur l’élaboration d’un nouveau dictionnaire islandais-français sont présentés sous la forme d’articles, suivis de remarques et d’explications sur nos choix lexicographiques.
- Disicipline
- Linguistique
- Date
- Soutenue le 10/04/2016
- Sous la direction de
- André Thibault
- Erla Erlendsdóttir
- Organisme
- Paris 4
- Háskóli Islands
- École doctorale Concepts et langages (Paris)

- Auteur
- Michaela Dandova
- Disicipline
- Linguistique
- Date
- En préparation depuis le 26/11/2014
- Sous la direction de
- André Thibault
- Organisme
- Sorbonne université
- Jihočeská univerzita (České Budějovice, République tchèque)
- École doctorale Concepts et langages (Paris)

2018SORUL072
La notion d'irréel et ses avatars terminologiques dans les grammaires françaises et anglophones de l'anglais
- Auteur
- Ernest Hounhouayenou-Toffa Adjovi
- Résumé
- Lire le résumé
- Cette thèse s’intéresse aux différents paradoxes que suscitent les unités lexicales irréel/unreal en grammaire et en linguistique. Il repose, pour ce faire, sur un large corpus français et anglophone d’ouvrages de terminologie linguistique et de grammaires de l’anglais publiées entre le 16e siècle et le 21e siècle. Si de nombreuses études se sont en effet intéressées à l’expression grammaticale de l’irréel, peu se sont penchées sur les discontinuités qui existent entre le mot de la langue générale et le terme tel qu’il est employé dans ces deux domaines de connaissances. Conventionnelle dans la tradition grammaticale française, mais nébuleuse, voire inappropriée pour certains linguistes, l’unité lexicale irréel semble pâtir d’un caractère protéiforme qui pose la question de son statut conceptuel, de la délimitation de son périmètre sémantique et de son utilité pour les grammaires de l’anglais. Notre travail sur corpus s’attache ainsi à étudier la conceptualisation de la notion d’irréalité, à expliquer et tenter de résoudre le problème posé par le foisonnement de ses avatars terminologiques dans les grammaires françaises et anglophones de l’anglais. Nous démontrons qu’eu égard à la façon dont le terme irréel est conçu dans les ouvrages de notre corpus, il apparaît fallacieux d’appréhender le non-factuel de façon binaire (procès actualisés vs procès non-actualisés). À partir d’une lecture sociocognitive du terme irréel, nous proposons donc une modélisation qui conçoit sa structure en termes de prototype.
- Disicipline
- Linguistique
- Date
- Soutenue le 27/06/2018
- Sous la direction de
- Wilfrid Rotgé
- Organisme
- Sorbonne université
- École doctorale Concepts et langages (Paris)

2018SORUL112
Le pronom on entre hypothèse psychomécanique et point de vue contrastif (français-arabe)
- Auteur
- Manar El Kak
- Résumé
- Lire le résumé
- Cette thèse étudie la polysémie du pronom on dans une perspective contrastive français-arabe. L’objectif de cette étude consiste à résoudre le problème de l’irrégularité dans la traduction arabe de on. Ce problème provient d’une variété d’emplois contradictoires de on en français, d’où sa polysémie. La polysémie de on a été examinée d’après le modèle interprétatif de la psychomécanique du langage de Gustave Guillaume complété par une approche énonciative. Ce cadre théorique a révélé comment, par une remontée vers l’ontogénèse de on, ce dernier est devenu un pronom intra-verbal malgré son origine substantivale. Par ailleurs, il est fait usage du Tenseur Binaire Radical (TBR) qui représente le signifié de puissance de on en langue. Ce signifié de puissance est illustré par un double mouvement qui va d’une pluralité indéfinie à une pluralité indéterminée, le point de transition étant moi-locuteur. Ainsi, le signifié de puissance de on a permis d’identifier et d’ordonner 13 signifiés d’effet, en tenant compte de la catégorie du nombre et de la notion de personne. Ces critères permettent de distinguer entre les valeurs de la 3e personne, celles de la personne 4 et les valeurs discursives d’un côté, et les effets de sens de l’autre. Mais pour traduire on, l’analyse contrastive du corpus bilingue a révélé que les traducteurs privilégient plutôt les effets de sens véhiculés par ce pronom. L’étude se termine donc par une proposition d’un ensemble de correspondants arabes pour chacun des 13 signifiés d’effet de on. Enfin, pour que la traduction de ce pronom soit adéquate, il faut que le groupe on + verbe soit considéré comme une unité de traduction.
- Disicipline
- Linguistique
- Date
- Soutenue le 24/11/2018
- Sous la direction de
- Christiane Marque-Pucheu
- Organisme
- Sorbonne université
- Université libanaise
- École doctorale Concepts et langages (Paris)
