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Nombre de résultats par page
- Auteur
- Jun Miao
- Résumé
- Lire le résumé
- Nous avons tenté d'explorer la notion de style du traducteur en articulant les analysestraductologiques et les méthodes de la textométrie multilingue (méthodes d'analysequantitatives textuelles appliquées à des corpus de textes alignés). Notre corpus d'étude est constitué par trois traductions chinoises d'une oeuvre littéraire française, Jean-Christophe de Romain Rolland (1904-1917), réalisées respectivement par Fu Lei (1952-1953), Han Hulin(2000) et Xu Yuanchong (2000). Après une description des difficultés inhérentes à la construction d'un corpus parallèle français-chinois, nous effectuons successivement diverses mesures textométriques sur ce corpus, dans le but de mettre en évidence des usages lexicaux et syntaxiques propres à chacun des traducteurs. La remise en contexte dans le corpus parallèle des différences statistiques des phénomènes linguistiques entre traductions et l'examen des facteurs socioculturels relatifs à chacune des époques font ressortir des indicateurs du style de chaque traducteur. La recherche détaillée de type traductologique, portant sur les particules chinoises, appuyée sur des comparaisons textométriques, fournit une série d'indices révélant des approches spécifiques à chacun des traducteurs dans son travail. Les résultats de cette enquête, menée à travers la comparaison des trois versions chinoisesentre elles, puis avec le texte original français jettent les bases d'une proposition de modèle d'analyse centré sur le style du traducteur. Nous pensons que notre travail ouvre une voie à une exploration scientifique et systématique de la notion de style du traducteur dans le cadre traductologique.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 21/04/2012
- Sous la direction de
- André Salem
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)

2019BOR30060
Élaboration d'un lexique de l'eau stratifié en fonction de l'auditoire : du concept aux lexèmes
- Auteur
- Jean-Louis Janin
- Résumé
- Lire le résumé
- L’élaboration d’un lexique « spécialisé » dans un domaine donné, ici celui de l’eau, est abordée dans une problématique d’inter-compréhension entre les auditoires auxquels s’adressent ceux qui l’utilisent en tant que tel, et celui des media (presse et télévision) lorsque leur discours au quotidien porte sur le même domaine. Les « strates discursives » du domaine résultent du choix des mots et de leur agencement en discours en fonction de l’auditoire. Elles rendent compte de cette problématique. Les auditoires du discours technico-scientifique et du discours technico-administratif sur l’eau ne sont pas les mêmes, ce qui permet de distinguer les deux strates discursives. D’autres discours du domaine sont inspirés par la pratique d’un art ou fondés sur une morale (une éthique), une religion ou une idéologie. Ils visent à produire un engagement personnel, voire collectif. Ils relèvent d’une autre strate discursive baptisée « décisionnelle incitative ». La quatrième strate discursive est celle du quotidien, des media, du langage courant. Ces strates discursives ont un vocabulaire spécifique et une approche différente des éléments communs du lexique, ce qui peut conduire à des incompréhensions ou à des malentendus sur le sens des mots. Le lexique stratifié est adossé à une ontologie des objets de connaissance du domaine, dont les concepts sont transposés dans des unités lexicales « pivot ». Ces unités peuvent être associées à des unités lexicales « satellites » dans d’autres strates discursives, avec des libellés identiques ou proches, dans un sens différent. Les unités discursives non stratifiées permettent d’accéder aux unités lexicales définies et exemplifiées dans les textes du lexique. Les noms propres édités dans l’ontologie du domaine peuvent être lexicalisés et exemplifiés. L’approche conceptuelle du lexique est complétée par une approche en linguistique de corpus par textométrie des corpus de textes issus des documents référencés du domaine. La textométrie fait émerger des substantifs et des syntagmes nominaux récurrents qui peuvent être intégrés dans le lexique lors de mises à jour sur de nouveaux thèmes et de nouvelles disciplines, en lien avec celle des concepts édités dans l’ontologie du domaine. La thèse présente sur des exemples le double processus de construction du lexique : à partir de l’ontologie du domaine, en tant que pivot du lexique, et par l’analyse textométrique des corpus de textes. La thèse est associée au projet de Dictionnaire de l’Académie de l’Eau, ou projet Lexeau® d’un lexique bilingue en français et en anglais des textes et des données sur l’eau. Elle en présente les fondements et divers aspects de la faisabilité.
- Disicipline
- Linguistique
- Date
- Soutenue le 26/01/2019
- Sous la direction de
- Frédéric Lambert
- Organisme
- Bordeaux 3
- École doctorale Montaigne-Humanités (Pessac, Gironde)

- Auteur
- Enobong Joseph Inyang
- Résumé
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- Notre thèse vise à étudier les conceptions théoriques de deux traductologues anglophones [littéraliste chez Peter Newmark et sociolinguistique chez Eugene Nida], à la lumière de la théorie interprétative de la traduction élaborée par deux traductologues françaises, Danica Seleskovitch et Marianne Lederer. Nous nous sommes proposé de voir comment trois théories, de deux univers linguistiques différents se sont développées dans la deuxième moitié du 20e siècle, et s’il y a des rapprochements à faire.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 15/12/2010
- Sous la direction de
- Marianne Lederer
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Ludovica Maggi
- Résumé
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- Dans la présente thèse nous formulons une réflexion sur la traduction des classiques du théâtre à travers les trois catégories traductologiques de l’herméneutique, de l’oralité et de la temporalité. A cet effet, nous envisageons la traduction comme le résultat d’un processus herméneutique concernant l’œuvre dans sa totalité. Au centre de ce processus, nous plaçons le sujet traduisant, dont la culture individuelle – à son tour reflet et déclinaison de la culture collective de l’espace-temps cible – constitue l’horizon d’interaction avec l’œuvre source. En découle la saisie d’un Sens total, au-delà du simple sens textuel, qui inclut une inscription dans la temporalité et l’identification d’une théâtralité, tout particulièrement vocale. Posant cette construction comme hypothèse de fond, nous recherchons les marques d’une telle interprétation de l’œuvre dans l’oralité de la traduction. Nous imaginons cette dernière comme la projection d’une voix performée et la concevons comme un tissu composite dans lequel les dimensions linguistique, rythmique et vocale participent à la construction d’un discours contemporain sur l’œuvre classique, le théâtre du passé, le théâtre du présent, sur la traduction elle-même et sa relation au temps. Un corpus de traductions italiennes contemporaines de Phèdre et Dom Juan destinées à la représentation scénique constitue la pierre de touche pour la vérification de notre hypothèse, tout en apportant un éclairage sur la réception des classiques du théâtre français en Italie.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 01/02/2019
- Sous la direction de
- Colette Laplace
- Organisme
- Sorbonne Paris Cité
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Hande Ersoz-Demirdag
- Résumé
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- La présente recherche se propose de décrire, d’analyser et de comprendre les problèmes des étudiants en phase d’apprentissage de l’interprétation consécutive avec le turc et le français comme paire de langues de travail et d’étudier leur évolution. Il porte sur la possibilité ou non d’enseigner les principes et les techniques de base de l’interprétation consécutive à des étudiants qui ne sont qu’en licence et qui n’ont pas nécessairement une maîtrise de la langue étrangère suffisante pour être admis à un programme de formation d’interprètes de haut niveau. Le corpus, constitué de transcriptions des prestations des étudiants, de notes prises en consécutive et de témoignages rétrospectifs, a été exploité dans le cadre conceptuel des Modèles d’Efforts de Daniel Gile, de manière à essayer de remonter à l’origine des faiblesses des étudiants. Les résultats présentés font apparaitre une nette progression chez les étudiants entre deux étapes dans la formation, qui s’observe sur des éléments décrits dans la littérature comme faisant partie du savoir-faire de l’interprète professionnel. Ils suggèrent que les étudiants ont effectivement appris les principes et les techniques de base de l’interprétation bien qu’ils ne soient pas dans une école spécialisée en interprétation, ni dans un programme de Master, ce qui constitue une réponse positive à la question de recherche. En outre, la présente recherche discute de la spécificité linguistique de la paire de langues concernée, et de l’intérêt méthodologique de démarche triangulaire adoptée. Des pistes de recherche sont enfin proposées.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 04/04/2013
- Sous la direction de
- Daniel Gile
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Essam Al-Mohaya
- Résumé
- Lire le résumé
- Cette thèse se propose d’explorer le phénomène de l’explicitation en traduction et d’observer la mise en œuvre de la stratégie d’explicitation dans un grand corpus composé de traductions en arabe du Monde Diplomatique (MD) durant la période 2001-2011. Elle s’articule autour de cinq questions centrales : Qu’est-ce que l’explicitation ? Qu’est-ce qu’on explicite ? Pourquoi ? Pour qui ? Comment ? Pour mener à bien cette investigation, nous avons élaboré un appareillage conceptuel dont la Théorie Interprétative de la Traduction (TIT) constitue le socle et auquel les autres approches traductives ont apporté des outils conceptuels et méthodologiques complémentaires. A la lumière des travaux antérieurs, nous avons d’abord tenté de redéfinir le concept de l’explicitation afin de déterminer les caractéristiques de cette stratégie ainsi que ses fondements théoriques. Ensuite, nous nous sommes penché sur l'analyse du corpus du MD composé d’environ 5000 exemples d’explicitation en contexte. Grâce à l'analyse discursive des décisions d’explicitation prises par les traducteurs du MD, nous avons pu dégager cinq problématiques principales qui suscitaient leur intervention et six techniques par le biais desquelles ils mettaient en œuvre les explicitations dans les textes arabes. Enfin, nous proposons cinq maximes susceptibles d’optimiser l’application de cette stratégie de sorte à permettre aux lecteurs cibles d’accéder aisément au sens des textes sources. L’explicitation devient pour nous un travail de marqueterie qui consiste à insérer dans le fil du texte des suppléments informationnels pertinents, mais surtout limités au strict nécessaire. Tout est question de « bon sens ».
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 07/05/2015
- Sous la direction de
- Colette Laplace
- Organisme
- Sorbonne Paris Cité
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Sophie Pointurier-Pournin (Pointurier)
- Résumé
- Lire le résumé
- En partant du cadre conceptuel des modèles IDRC (Interprétation-Décisions-Ressources- Contraintes) et du modèle d'Efforts de l'interprétation simultanée de Daniel Gile entre langues vocales, nous tenterons d'analyser le processus de l'interprétation en langue des signes et étudierons la charge cognitive inhérente au passage d'une langue vocale (canal audio-vocal), à une langue signée (canal visuo-gestuel). Nous analyserons en premier lieu l’ensemble des contraintes concourant à l’exercice de l’interprétation en langue des signes pouvant se distinguer de celles généralement observées en interprétation entre langues vocales (nous incluons les langues vocales syntaxiquement très éloignées) telles que les contraintes socio-économiques, les contraintes linguistiques et enfin les contraintes d’espace. Nous procéderons ensuite à une analyse cognitive du processus de l’interprétation en nous référant au modèle d'Efforts de l’interprétation simultanée de Gile (Effort d'Écoute et d'Analyse, Effort de Mémorisation à court terme, Effort de Production, Effort de Coordination de ces trois activités simultanées), et nous chercherons à envisager sa transposition aux langues des signes. Pour mieux comprendre les mécanismes constitutifs du processus, nous observerons particulièrement le concept de scénarisation (Séro-Guillaume, 2008) pour une première analyse de la charge cognitive de l’interprète en action. Cette capacité de représentation synthétique visuelle est-elle plus ou moins grande si on prend en compte le degré d'abstraction du discours, la technicité de l'énoncé, le manque de correspondances lexicales, le contexte de l'interprétation (pédagogique, conférence, etc.), la préparation ? Notre analyse du processus se base sur un corpus constitué de plusieurs études empiriques d’interprétations vers la langue des signes : une étude semi-expérimentale, une étude de cas naturaliste et une étude expérimentale, ainsi que sur des interviews d’interprètes et un focus group. Les observations faites sur l’ensemble de ces études nous ont permis de croiser nos données et de dégager les éléments pertinents de nos résultats pour une avancée dans la compréhension du processus cognitif de l’interprétation en langue des signes.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 01/07/2014
- Sous la direction de
- Daniel Gile
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Mi-Kyung Choi
- Résumé
- Lire le résumé
- Nous nous sommes donné pour objectif d'étudier les questions posées par la traduction littéraire en B à partir du coréen effectuée en binôme par un traducteur coréen et un cotraducteur spécialiste de la langue d'arrivée, et d'en préciser les conditions de réussite.En matière littéraire du coréen vers le français, ce couplage vise à pallier l'absence de traducteurs français capables de travailler seuls.L'opération traduisante étant effectuée par des traducteurs coréens travaillant en B, l'exigence formelle de la traduction littéraire implique l'intervention d'un réviseur français.De plus en plus d'œuvres coréennes sont traduites selon cette modalité et publiées en France. Nous avons analysé les différentes étapes du processus, de la compréhension à la réexpression, à la lumière e la théorie interprétative de la traduction en tentant de montrer pourquoi le concept clé de la déverbalisation légitime la cotraduction, l'activité traduisante étant une opération de texte à texte, non de langue à langue. La première partie de notre recherche est consacrée à l'étude du cadre théorique (définition des notions auxquelles nous recourons, description de la théorie interprétative) et pratique (aperçu de l'état présent de la traduction française des textes littéraires coréens). Dans la deuxième partie, nous avons analysé des exemples de traduction en montrant le cheminement des échanges entre le traducteur et le cotraducteur, et en précisant la nature du guidage donné par le premier au second ainsi que la nature de la contribution de ce dernier. Nous aboutissons à la conclusion qu'une pratique souvent considérée seulement comme un pis-aller peut prétendre à produire des textes d'une réelle qualité littéraire dès lors que la technique mise en œuvre respecte les conditions que nous tentons de définir ici.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 27/02/2014
- Sous la direction de
- Fortunato Israël
- Jin-Mieung Li
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Maria Nasr
- Résumé
- Lire le résumé
- Cette thèse est une analyse scientométrique d’un corpus de 542 textes sur la didactique de la traduction publiés entre 1966 et 2009. L’objectif est de voir à travers une analyse des citations quels auteurs ont influencé ce domaine et quels sont les titres, les langues, les supports et les domaines de textes les plus cités. La plupart des auteurs les plus cités sont des traductologues non didacticiens. L’approche fonctionnaliste et l’approche linguistique de la traduction sont les courants de pensée les plus présents parmi ces auteurs dont l’influence est surtout théorique et méthodologique (méthodes d’enseignement). Les textes didactiques reflètent le poids des institutions européennes puisque la plupart des auteurs cités se trouvent sur ce continent. Les auteurs français sont cités presque uniquement par des auteurs du monde francophone alors que les germanophones les plus cités ont de l’écho auprès d’auteurs d’horizons variés. La plupart des écrits les plus cités sont des monographies de recherche traductologique publiées dans les années quatre-vingt dix par des enseignants et praticiens de la traduction. Les écrits les plus citées entre 1966 et 2005 sont des textes de recherche traductologique non didactiques alors que la période 2006-2009 est marquée par les textes didactiques sur la traduction non littéraire. Les articles d’ouvrages collectifs et de revues sont moins cités que les monographies et les auteurs citent davantage de textes anciens que récents. La majorité des textes cités sont écrits en anglais. Par ailleurs, les auteurs du corpus sont très influencés par les écrits traductologiques non didactiques et peu par des textes d’autres domaines.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 16/06/2010
- Sous la direction de
- Daniel Gile
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Hamad al- Traif
- Résumé
- Lire le résumé
- L’objectif de cette recherche est d’analyser le programme d’enseignement d’une formation de traducteurs professionnels en Arabie Saoudite. Il s’agit de la F. L. T. , fondée en 1990. Ce travail comporte trois parties. Dans la première, nous commençons par faire une présentation générale de l’enseignement en Arabie Saoudite, à Djeddah et à Riyad, avant de présenter les différents acteurs de cette formation. Cette partie s’achève par une présentation de l’enseignement de la traduction à la F. L. T. Dans la seconde partie, nous commençons par réfléchir sur la nécessité de choisir un modèle d’analyse grâce auquel nous pourrons non plus décrire mais évaluer la F. L. T. Nous passons donc en revue les différentes approches de la traduction, qu’elles soient linguistiques ; comparatistes ou autres. . . C’est donc en connaissances de cause que nous décidons de faire de la théorie interprétative et sa mise en pratique à l’E. S. L. T, le modèle à l’aide duquel nous évaluerons le programme de la F. L. T. Nous choisissons d’évaluer ce programme à travers les quatre pôles qui, d’après la théorie interprétative, organisent la formation des traducteurs professionnels : le pôle du perfectionnement linguistique, celui de la méthodologie, celui de l’acquisition de connaissances et des nouvelles technologies et en dernier lieu celui de l’entraînement à la traduction. L’analyse que nous réalisons s’effectue toujours en trois temps : tout d’abord nous traitons une idée importante en rapport avec ce pôle, puis nous essayons d’en décrire le contenu et l’organisation à l’E. S. L. T. , pour finir par la description des contenus et l’organisation des enseignements proposés à la F. L. T. Dans la dernière partie de cette thèse nous énonçons les propositions pédagogiques qui nous ont été inspirées par l’évaluation de la F. L. T.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 02/01/2001
- Sous la direction de
- Fortunato Israël
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)
