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2016CERG0824
Les outils du traducteur pour la création d’un dictionnaire bilingue de l’Énergie : www.lexiterme.com
- Auteur
- Floriane Demgne kamdem
- Résumé
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- A l’heure actuelle, la problématique de en vigueur est celle de la transition énergétique, des « smart cities », des objets connectés, des énergies renouvelables. Nous avons souhaité créer ce dictionnaire dans le but d’apporter des réponses concrètes aux multiples défis liés à ce secteur. L’objectif était de présenter l’utilisation de certains outils qu’utilise le traducteur ou le linguiste pour créer un dictionnaire bilingue disponible en ligne. Néanmoins, face à la multitude de logiciels présents sur le marché, nous avons fait un choix pour délimiter la phase expérimentale. Nous avons opté entre autres pour SDL Studio Trados 2011, Trados 7 Freelance, TermoStat, TerMine, Multiterm. Nous avons nourri notre réflexion des théories et des discours des linguistes de renom, notamment Wüster, Gouadec ou Nolet. Nous avons également opté pour une méthode à la fois explicative et expérimentale. Notre corpus de 130 pages nous a permis d’extraire en tout plus de 3000 termes sur deux logiciels différents. Les logiciels se sont avérés restrictifs en fonction du volume du projet et des spécificités recherchées. Il s’est avéré que l’automatisation de l’analyse du corpus permettait certes de gagner du temps, mais le choix des termes pouvait être remis en question. Le dictionnaire bilingue anglais français www.lexiterme.com est déjà disponible en ligne bien qu’il ne s’agisse que d’une version expérimentale.Mots-clés : terminologie, dictionnaire, base de données, analyse de corpus, lexicographie
- Disicipline
- Sciences du langage - Cergy
- Date
- Soutenue le 16/11/2016
- Sous la direction de
- Jean Pruvost
- Organisme
- Cergy-Pontoise
- École doctorale Droit et Science politique (Cergy-Pontoise, Val d'Oise)

- Auteur
- Mireille Elchacar
- Résumé
- Lire le résumé
- La tradition lexicographique de langue française opère, en théorie, une séparation stricte entre noms communs et noms propres. Or, dans les faits, cette séparation touche surtout les noms propres de lieux et de personnes. En effet, l'observation des articles du vocabulaire politique révèle un nombre important de noms propres d'une autre nature dans les pages de dictionnaires, comme des noms propres d'institutions, de partis politiques ou d'événements et de périodes historiques. Qui plus est, ces noms propres reçoivent souvent un traitement lexicographique comparable à celui des noms communs. Toutefois, ce traitement n'a pas encore fait l'objet d'une étude approfondie, et on constate une lacune dans la métalexicographie à son sujet.Afin de faire la lumière sur le traitement lexicographique des noms propres du vocabulaire politique, nous avons procédé à une analyse de ces noms propres à travers quatre dictionnaires généraux de langue française (Le Nouveau Petit Robert 2007 (version électronique), Le Petit Larousse Illustré 2007 (version électronique), le Dictionnaire du français Plus – À l'intention des francophones d'Amérique (1988) et le Dictionnaire québécois d'aujourd'hui (1992). Nous avons d'abord mis sur pied une typologie des noms propres du vocabulaire politique susceptibles d'être définis dans les dictionnaires généraux de langue française; puis nous avons relevé ces noms propres dans les dictionnaires à l'étude. Il ressort de ce relevé que le nombre de noms propres du vocabulaire politique dans les dictionnaires est assez élevé pour nécessiter une caractérisation de la pratique lexicographique des entourant. En outre, la description du vocabulaire politique passe par une description des noms propres en plus des mots du lexique commun. Nous nous sommes penchée sur la manière dont sont présentés les noms propres dans les dictionnaires, pour conclure que leur intégration et leur identification n'obéit pas à une méthode systématique. Nous avons réfléchi à la nomenclature des noms propres à inclure dans le dictionnaire de langue à travers l'exemple des noms de partis politiques, dont ceux qui sont représentés dans les instances officielles devraient être décrits dans les dictionnaires généraux. Nous avons ensuite analysé en profondeur les catégories de noms propres les plus représentées dans notre corpus d'articles du vocabulaire politique (les noms propres d'événements et de périodes historiques, les noms de partis politiques, dont les sigles, et les noms propres d'institutions). À la suite de cette analyse, nous proposons une liste d'éléments que le traitement lexicographique devrait inclure afin de permettre une circonscription efficace du référent (en d'autres termes, les traits distinctifs que devrait contenir une définition suffisante pour ces type de noms propres). Un point commun à toutes les catégories concerne la prise en compte de la variation géographique : en contexte francophone particulièrement, le lieu doit être précisé par le traitement lexicographique. L'étude se termine par une analyse de l'arrimage entre noms propres et lexique commun dans les dictionnaires où ils sont intégrés dans même ouvrage (PLI) ou dans une même nomenclature (Dictionnaire Hachette, Dixel). Nous arrivons à la conclusion que ces particularités dictionnairiques ne remplacent pas une réflexion en profondeur sur l'intégration des noms propres du vocabulaire politique dans le dictionnaire de langue.
- Disicipline
- Sciences du langage
- Date
- Soutenue le 27/08/2011
- Sous la direction de
- Jean Pruvost
- Organisme
- Cergy-Pontoise
- Université de Sherbrooke (Québec, Canada)
- École doctorale Droit et Science politique (Cergy-Pontoise, Val d'Oise)

- Auteur
- Pascale Tardivel-Pouzadoux
- Résumé
- Lire le résumé
- Les dictionnaires, outils de savoir, sont devenus des objets de grande consommation et doivent communiquer avec leur lectorat. Leur communication extrinsèque, à travers leur couverture, idéalise leur image et les rapproche de leurs consommateurs, mais c’est leur communication intrinsèque, à travers les choix du lexique et leur traitement définitionnel, qui peut les en éloigner. Elle marque le décalage parfois prégnant entre la norme proposée pour un mot et son usage par les locuteurs, notamment pour le vocabulaire chromatique. Il s’agit, pour les mots de couleur, de bien identifier les écarts sémantiques entre le discours lexicographique, présenté comme une norme, et les « définitions naturelles », propres au lectorat. L’étude lexicale des mots de couleur met particulièrement en relief l’écart entre deux approches distinctes, celle de la lexicographie traditionnelle représentant la norme et celle relevant d’une observation de l’usage. Du point de vue lexicographique traditionnel, la définition du mot de couleur sera normative et fondée sur le point de vue du rédacteur par rapport à l’idée qu’il se fait du bagage culturel commun. Elle impose une vision dénotative qui reste pratiquement la même dans toute la dictionnairique. Une enquête sociolinguiste menée pendant deux ans auprès d’un public hétérogène sur la définition naturelle montre qu’il existe des disparités entre la norme proposée dans une définition de couleur et l’usage ou la compréhension de celle-ci, à l’exemple du kaki, largement défini par le public comme un vert et défini par le lexicographe comme un jaune-brun. Ces interprétations et ces occurrences, d’un implicite partagé fondé sur le bagage culturel commun des usagers de la langue, donneront des définitions dont les champs sémantiques sont souvent absents de la norme lexicographique. La définition lexicographique ne propose pas une approche qui permettrait d’en percevoir les nuances subjectives et pourtant référentielles. C’est le constat de cette disparité, de cet écart culturel entre le discours lexicographique et l’usage en vigueur, qu’il est nécessaire d’analyser et de répertorier, pour revisiter une lexicographie qui impose la norme. In fine, la proposition d’une nouvelle communication associant les définitions naturelles et lexicographiques permettrait une approche plus en accord avec le discours : une sorte de syncrétisme définitionnel ouvrant de nouvelles perspectives à la dictionnairique chromatique.
- Disicipline
- Sciences du langage
- Date
- Soutenue le 02/01/2010
- Sous la direction de
- Jean Pruvost
- Organisme
- Cergy-Pontoise
- École doctorale Droit et Science politique (Cergy-Pontoise, Val d'Oise)

- Auteur
- Monika Kostekova
- Résumé
- Lire le résumé
- Le sujet traité par la recherche est la terminologie dont une connaissance profonde et une utilisation fréquente sont typiques pour des experts dans le domaine de la gastronomie. Avant de poursuivre aux objectifs, parlons dʼabord de la motivation du choix. Premièrement, cʼétait lʼintérêt personnel à la gastronomie, slovaque et étrangère, qui a poussé lʼauteur à explorer la terminologie gastronomique. Un autre motif qui a conduit à préciser le sujet est le fait que lʼauteur a déjà traité le sujet de la terminologie, culinaire et sportive, dans ses deux travaux qualificatifs. Voilà lʼidée initiale de traiter la terminologie culinaire dans la perspective contrastive ainsi dʼélaboration dʼun registre des termes bilingue. Lʼobjectif est en premier plan dʼétudier et de charactériser les terminologies slovaque et française comme deux systèmes terminologiques structurés et indépendants qui contiennent des signes linguistiques spécifiques ; dʼidentifier les relations généralisées au sein de ces systèmes ; dʼanalyser les relations entre les deux systèmes terminologiques du point de vu dʼéquivalence fonctionelle des unités terminologiques slovaques et françaises, et dans la perspective de la possibilité dʼharmonisation de ces deux systèmes terminologiques. En deuxième plan, on concentrera notre attention sur le fonctionnement des unités terminologiques dans le procès de la communication verbale en analysant la fréquence, le moyen, le contexte et lʼutilisation des termes en relation de la présence des signes appartenant à des registres dont la présence peut être probable dans la pratique communicative dʼune communauté socioprofessionelle (professionalismes, jargon, argot, technolecte). Dans cette perspective, nous avons plusieurs suppositioins. Lʼhypothèse de base est portée sur le fait que les cuisiniers et les serveurs sont spécialistes qui ont connu une formation spécifique dans le domaine de la gastronomie. Grâce à cela, ils sont capables de profiter dʼune utilisation active des termes et des conaissances de la terminologie spécifique pour le domaine. Nous soutenons que la terminologie prend la place importante dans lʼusage communicatif dʼune comunauté socioprofessionnelle. On défend que la fréquence de lʼutilisation des termes (ou leur variétés) sera plus importante dans lʼusage communicatif des professionnels que dans les interactions dʼun professionnel avec une personne sans formation culinaire (client). Enfin, une dernière supposition qui sʼimpose est que pendant le procès dʼharmonisation des terminologies culinaires on devra résoudre des problèmes liés au changement de sens. Les ressources théorique peuvent être divisées en trois domaines : science du language, terminologie/terminographie et sociolinguistique. Tout dʼabord il sera nécessaire de réflecter la relation entre une(des) norme(s) linguistique(s) et un usage communicatif. Cʼest pourquoi on étudiera les ensembles terminologiques dʼun côté et leur emploi de lʼautre. Ensuite il sera indispensable de comprendre la stratification du lexique dʼune langue ainsi que les questions de la création dʼun mot. Dernièrement, il faut mentionner la problématique du changement de sens. La méthode exacte, correspondant à la nature spécifique du matériel analysé, reste encore à être précisée. Cependant, tout au long de notre recherche, on sʼappuiera sur des méthodes scientifiques de base analyse, comparaison et synthèse. Plus précisèment, la recherche sera menée dans une perspective de spécification et détermination des démarches théorique et méthodologique pendant lʼétape initiale de notre doctorat ; dʼune analyse des ressources bibliographiques relatives à lʼart culinaire et leur analyse ; dʼune sélection, dʼun recueil et dʼun assemblage des termes, leurs formes, définitions et autres informations relatives à notre objectif; dʼune représentation des données terminologiques selon une structure choisie dʼavance et d'une création des fiches terminologiques ; dʼune harmonisation de la terminologie culinaire slovaque et la terminologie française; dʼune analyse contrastive des terminologies culinaires français et slovaques ; dʼune analyse de lʼensemble terminologique franco-slovaque à lʼaide des enregistrements et dʼune analyse linguistique des enregistrements, analyse statistique, etc. Pour conclure, notre recherche représente un travail interdisciplinaire, cʼest-à-dire qui fait partie de plusieurs domaines, dont la linguistique, la sociolinguistique, la terminologie, la terminographie. Lʼobjectif général de la recherche est dʼinterpréter les données acquises par une observation des phénomènes différents qui sont présents dans lʼusage communicatif de la communauté socioprofessionelle des experts dans le domaine de la gastronomie. Nos efforts seront concentrés surtout sur la terminologie, lʼargot, le jargon et le technolecte ; aux relations entre eux et leur influence aux énoncés. La recherche fournit aussi une contribution partielle la création d´une terminologie culinaire complétisée, cohérente et harmonisée en deux langues.
- Disicipline
- Sciences du langage - Cergy
- Date
- En préparation depuis le 07/09/2016
- Sous la direction de
- Christophe Rey
- Katarina Chovancova
- Organisme
- CY Cergy Paris Université
- Université Matej Bel de Banska Bystrica
- École doctorale Droit et Science politique (Cergy-Pontoise, Val d'Oise)
