En effectuant des analyses contrastives des versions chinoises d’un traité appartenant aux Moralia de Plutarque, cette thèse vise à découvrir la substance de l’acte traductif, à exposer l’hétérogénéité des conceptions relevant des cultures éloignées, ainsi qu’à présenter les obstacles traductifs se trouvant aux niveaux différents et aux époques diverses. Afin de proposer une solution efficace permettant de résoudre ou de contourner ces difficultés, Geyi (interprétation analogique) est examinée d’une manière approfondie avec sa légitimité confirmée et ses limites discernées.