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- Auteur
- Tong Yang
- Résumé
- Lire le résumé
- Ce projet de thèse s’inscrit dans le cadre de l’enseignement du FOS (Français sur Objectifs Spécifiques) à des cuisiniers étrangers venus travailler dans des restaurants français ou ayant choisi la restauration comme spécialité. L’objectif de notre recherche est donc d’enseigner les phrasèmes NAdj du domaine culinaire auprès d’apprenants étrangers niveau A2. L’enseignement/apprentissage de la phraséologie s’avère nécessaire dans les langues de spécialités et la haute fréquence des phrasèmes NAdj a attiré notre attention. Plusieurs questions sont alors abordées : où trouver ce lexique spécifique ? Comment les extraire ? Par quelle approche enseignons-nous les phrasèmes sélectionnés ? Pour répondre à ces questions, nous avons fabriqué notre propre corpus Cuisitext – écrit et oral – puis nous avons utilisé NooJ pour extraire les phrasèmes NAdj du corpus. Enfin, nous avons proposé les trois approches d’utilisation des corpus pour l’enseignement/apprentissage des phrasèmes NAdj : approche inductive guidée, approche déductive, approche inductive pure.
- Disicipline
- Didactique des langues et des cultures
- Date
- Soutenue le 05/12/2019
- Sous la direction de
- Cristelle Cavalla
- Jeanne-Marie Debaisieux
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Lucille Chevalier
- Résumé
- Lire le résumé
- 16 extraits d’interprétations télévisées et webstreamées ont été écoutés, commentés et évalués par un panel de 62 non-interprètes et 7 interprètes. Les réactions des non-interprètes donnent à penser que l’interprétation fonctionne en ce sens qu’elle semble plus ou moins transparente pour eux et ne fait pas écran à la réception du discours de l’orateur·trice. Les commentaires portent sur la forme de l’interprétation plus que sur le contenu. Il apparaît que les non-interprètes (PNI) prêtent attention à certains paramètres déjà étudiés dans la littérature (notamment intonation et fluidité) mais également à certains (méta)paramètres jusqu’ici peu explorés (équilibre des volumes sonores ; image de l’orateur·trice telle que transmise par l’interprétation ; transmission de la charge émotionnelle de l’original). Aucun paramètre ne ressort comme décisif pour l’évaluation globale de la qualité. Les paramètres de qualité ne sont pas abordés seulement isolément ; ils interagissent, et notamment, la perception de la forme et celle du fond semble étroitement liées, et la confiance de l’auditeur semble déterminée par plusieurs facteurs relatifs à la forme et au contenu. Des différences apparaissent entre interprètes et non-interprètes : les interprètes semblent plus sensibles à la forme textuelle ; seuls les non-interprètes ont signalé de fausses erreurs ; les non-interprètes semblent écouter en priorité le message, et lorsqu’ils réagissent à l’interprétation per se, ce n’est souvent que dans un deuxième temps.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 20/09/2019
- Sous la direction de
- Daniel Gile
- Organisme
- Paris 3
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Gaëtan Moreau
- Résumé
- Lire le résumé
- Cette thèse se propose de souligner la proximité et la complémentarité des méthodes d'analyse de texte en droit international et en sciences du langage, particulièrement en traductologie, pour produire une analyse de discours du Conseil de sécurité de l'ONU dans ses résolutions de 1946 à 2015 inclus, qui soit pertinente dans les deux domaines et de ce fait, interdisciplinaire. Une telle analyse de corpus, utilisant des outils textométriques sur le texte mais également sur les données contextuelles des résolutions, nous permet de produire des résultats exploitables dans ces deux champs scientifiques, ce qui est un des buts des humanités numériques. Nous montrons ainsi le sens ordinaire de la version anglaise de la résolution 242 (1967) en établissant, dans notre corpus, les fréquences des différentes traductions en français du déterminant zéro pluriel anglais pour établir son sens le plus commun. Ce faisant, nous aidons à résoudre un vieux problème d'interprétation de droit international, et nous modélisons par ailleurs l'usage de ce déterminant en anglais. Par ailleurs, nous montrons comment une modélisation de la traduction permet de faire émerger l'extension sémantique de certains termes et comment une analyse juridique des résolutions du Conseil de sécurité peut être modélisée en bonne approximation à partir d'un algorithme se basant sur des données purement linguistiques. Les données sont disponibles en ligne : https://hdl.handle.net/11403/csonu
- Disicipline
- Sciences du langage
- Date
- Soutenue le 21/03/2019
- Sous la direction de
- Dominique Legallois
- Anne-Thida Norodom
- Organisme
- Sorbonne Paris Cité
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Ludovica Maggi
- Résumé
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- Dans la présente thèse nous formulons une réflexion sur la traduction des classiques du théâtre à travers les trois catégories traductologiques de l’herméneutique, de l’oralité et de la temporalité. A cet effet, nous envisageons la traduction comme le résultat d’un processus herméneutique concernant l’œuvre dans sa totalité. Au centre de ce processus, nous plaçons le sujet traduisant, dont la culture individuelle – à son tour reflet et déclinaison de la culture collective de l’espace-temps cible – constitue l’horizon d’interaction avec l’œuvre source. En découle la saisie d’un Sens total, au-delà du simple sens textuel, qui inclut une inscription dans la temporalité et l’identification d’une théâtralité, tout particulièrement vocale. Posant cette construction comme hypothèse de fond, nous recherchons les marques d’une telle interprétation de l’œuvre dans l’oralité de la traduction. Nous imaginons cette dernière comme la projection d’une voix performée et la concevons comme un tissu composite dans lequel les dimensions linguistique, rythmique et vocale participent à la construction d’un discours contemporain sur l’œuvre classique, le théâtre du passé, le théâtre du présent, sur la traduction elle-même et sa relation au temps. Un corpus de traductions italiennes contemporaines de Phèdre et Dom Juan destinées à la représentation scénique constitue la pierre de touche pour la vérification de notre hypothèse, tout en apportant un éclairage sur la réception des classiques du théâtre français en Italie.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 01/02/2019
- Sous la direction de
- Colette Laplace
- Organisme
- Sorbonne Paris Cité
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Mohannad Alhalaki
- Résumé
- Lire le résumé
- La présente thèse tente d’identifier les difficultés et les spécificités linguistico-culturelles marquantes qui relèvent de l’environnement de l’interprétation (français/anglais-arabe) aussi bien en pratique qu’en formation. L’interprète arabophone utilise le dialecte au quotidien mais doit s’exprimer en arabe littéraire moderne dans les conférences internationales. Il fait alors face à une variété d’arabe non acquise depuis la naissance qui est sensiblement différente des dialectes locaux, notamment sur le plan morphosyntaxique. Ainsi, l’interprète arabophone peut être amené à déployer plus d’efforts que l’interprète francophone ou anglophone dans la production de son discours (traduisant quant à eux vers leur langue maternelle) et à travailler à proximité de la saturation cognitive (Gile, 2009). Nous avons collecté des données par trois moyens : a) un questionnaire rempli par 35 praticiens et enseignants de l’interprétation de conférence, b) deux types d’enquêtes par entretien, l’une auprès de 12 interprètes professionnels, et l’autre auprès de 14 étudiants et 8 enseignants-praticiens appartenant à 4 établissements et c) par l’analyse d’un corpus d’enregistrements de l’interprétation de 2 discours. Les explorations empiriques réalisées ont permis d’identifier un certain nombre de difficultés linguistiques que rencontrent les praticiens en activité ainsi que les enseignants et les étudiants participant à une formation d’interprètes. Nous y retrouvons notamment ce qui concerne la redondance dans le discours arabe et les difficultés qui découlent de la spécificité de l’arabe. L’ALM, notamment en phase de production orale, ne serait pas considéré comme une langue « A » au sens de l’AIIC. Il s’apparenterait plutôt à une langue « B ». Tous les participants ont mis l’accent sur la difficulté de la maîtrise de leur langue « A », l’ALM. L’analyse de corpus a notamment soulevé un grand nombre de fautes et de maladresses linguistiques dans le produit oral des interprètes professionnels. De ces constats, il résulte qu’il est important d’améliorer la maîtrise active de l’ALM chez les interprètes et les étudiants. Le perfectionnement linguistique dont il est question ne peut se faire par une simple immersion linguistique dans un pays arabophone. Il faudra en effet des efforts ciblés.
- Disicipline
- Traductologie
- Date
- Soutenue le 12/01/2019
- Sous la direction de
- Daniel Gile
- Organisme
- Sorbonne Paris Cité
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Yuyuan Guo
- Résumé
- Lire le résumé
- L’objectif de cette thèse est d’examiner le genre du discours romanesque nothombien dans les récits à la première personne ainsi que d’interroger les interactions dans le dialogue romanesque chez Nothomb à la lumière des approches narrative, discursive et pragmatique. Dans la première partie sont développés trois axes : le premier axe porte sur la recherche de différentes instances qui s’expriment à travers le « je » et les fonctions de la voix du « moi » ; le deuxième axe concerne l’étude des temps verbaux de la fiction narrative et du dédoublement entre le discours de l’énonciateur et le discours du personnage ; le troisième axe interroge la question de l’identification de l’auteure et celle des personnages par le biais de différents types de lecteur. Dans cette perspective, la deuxième partie est consacrée particulièrement aux dialogues de personnages pour mettre en relief les interactions et les échanges dans les différentes scènes romanesques nothombiennes à travers une analyse non verbale, paraverbale, et du système de la politesse. En rapport, la dernière partie fait porter le regard sur la réception de l’écriture de Nothomb, à partir d’une analyse traditionnelle et d’une analyse textométrique qui mettent en résonance la lecture et la figure de l’auteure.
- Disicipline
- Sciences du langage
- Date
- Soutenue le 10/11/2018
- En préparation depuis le 17/11/2014
- Sous la direction de
- Marie-Christine Lala
- Organisme
- Sorbonne Paris Cité
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Alessandro Turbil
- Résumé
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- La présente thèse analyse les conditions dans lesquelles les traductions des 'Triumphi' de Pétrarque ont apparu et circulé en France entre les années 1470 et 1550. Ce travail a été structuré selon trois axes de recherche. Cet ouvrage essaye de définir tout d’abord le périmètre de circulation des mises en français du poème allégorique de Pétrarque à partir d’une étude codicologique des témoins connus (contexte de production ; hypothèse de datation ; reconstruction des possibles contextes de circulation ; reconstruction de l’historique plus ou moins récent des manuscrits)afin de reconnaître à l’ensemble de ces traductions l’importance du rôle joué dans la réception de l’oeuvre vulgaire de Pétrarque en France aussi bien que dans le développement du pétrarquisme français. Ensuite, nous avons étudié la question des liens qui relient certaines traductions entre elles. Nous nous sommes occupé tant de l’identification du texte de départ utilisé par chaque traducteur que des relations intertextuelles qui semblent relier certaines mises en français du poème et qui sont apparues au cours du travail d’alignement des textes. La thèse analyse, enfin, la question de la langue de convention de Pétrarque par rapport à sa translation de l’italien en français (assimilation et réutilisation de certains ‘iuncturæ’ typiquement pétrarquiennes) avec le but de vérifier si ces traductions ont pu représenter le premier lieu de codification en français des stylèmes lexicaux les plus typiques du langage littéraire du poète toscan, ainsi que des motifs et de quelques figures de style souvent utilisés par le poète.
- Disicipline
- Sciences du langage
- Date
- Soutenue le 10/07/2018
- Sous la direction de
- Gabriella Parussa
- Paola Cifarelli
- Organisme
- Sorbonne Paris Cité
- Università degli studi (Turin, Italie)
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Liyun Wang
- Résumé
- Lire le résumé
- L’objectif de cette thèse consiste à cerner les enjeux, les contraintes et les normes qui régissent le sous-titrage cinématographique en tant qu’opération traduisante. Cette recherche se fonde sur un corpus constitué de films français, dont des comédies (romantiques) particulièrement, qui ont été tout récemment distribués dans les salles chinoises. Dans un premier temps, nous essayons de mettre en évidence, suivant l’évolution des échanges cinématographiques entre la Chine et d’autres pays, plus spécifiquement la France, les enjeux qu’un pays avec sa politique, son idéologie propre, son économie, sa société et son peuple pose à l’introduction des films étrangers ainsi qu’à leur transfert linguistique en général et à leur sous-titrage en particulier. Dans un second temps, nous tentons de démontrer, à la lumière de la théorie interprétative, qu’à l’instar de toute opération traduisante, le sous-titrage est soumis aux mêmes étapes, à savoir la compréhension du sens original, sa déverbalisation, sa réexpression dans la langue-cible, et l’analyse justificative de la solution retenue. En même temps, nous ne tardons pas à signaler les contraintes auxquelles devrait obéir le sous-titrage, qualifié de traduction contrainte ainsi que leur impact sur l’équivalence du sens. N’étant qu’une introduction à d’autres travaux de recherche sur le sous-titrage, qui reste jusque-là plutôt une activité empirique, cette étude vise à susciter plus d’intérêts de la part de la communauté scientifique, qui pourrait sortir de la marginalisation cet immense champ transdisciplinaire.
- Disicipline
- Didactique des langues et des cultures
- Date
- Soutenue le 28/05/2018
- Sous la direction de
- Emmanuel Fraisse
- De Ming Cao
- Organisme
- Sorbonne Paris Cité
- Université des études internationales de Shanghai
- École doctorale Langage et langues (Paris)

- Auteur
- Theera Roungtheera
- Résumé
- Lire le résumé
- Ce travail a pour objet l’adaptation des toponymes thaïlandais en français dans un corpus de quatre guides touristiques francophones. Les analyses linguistiques et traductologiques montrent que les toponymes thaïlandais sont bien intégrés en français aux différents niveaux de leur adaptation. Ils sont d’abord romanisés par divers systèmes, parfois avec la francisation graphématique. Au niveau morphosyntaxique, ils héritent du genre et du nombre correspondant au nom de catégorie dont relève le toponyme en français (colline, marché, etc.) mais chaque fois que le nom catégoriel thaï est emprunté, le déterminant utilisé tend à neutraliser l’opposition masculin/féminin. Au niveau sémantico-référentiel, leur valeur fondamentale est locative mais dans certains contextes, ils peuvent subir une interprétation métonymique et métaphorique. Ainsi le transfert sémantique est possible par les divers procédés traductologiques. Avec la traduction libre, l’auteur peut modifier la traduction de la dénomination d’origine ou créer une nouvelle forme dénominative en présentant la caractérisation dominante du référent. On constate que dans leur francisation ces dénominations toponymiques se conforment aux conventions de la fabrication toponymique en français. Les caractéristiques des toponymes touristiques traduits du thaï en français manifestent un système spécifique de dénomination toponymique constitué principalement de deux noms catégoriels en français et en thaï et de l’ajout d’un toponyme de localisation pour marquer le caractère représentatif du lieu. Ces stratégies soulignent une fonction pragmatique spécifique du guide touristique : permettre au lecteur d’identifier des lieux qui lui sont inconnus en suscitant son intérêt pour une langue-culture étrangère.
- Disicipline
- Sciences du langage
- Date
- Soutenue le 16/12/2017
- Sous la direction de
- Bernard Bosredon
- Organisme
- Sorbonne Paris Cité
- École doctorale Langage et langues (Paris)

2017USPCA134
Histoire de la première nomenclature grammaticale officielle en France (janvier 1905 - avril 1911)
- Auteur
- Aurélia Elalouf
- Résumé
- Lire le résumé
- L’étude retrace l’histoire de la première nomenclature grammaticale officielle en France, depuis les premiers débats publics sur la nécessité d’une simplification et d’une unification terminologiques (à partir de janvier 1905) jusqu’à la promulgation des trois textes officiels que sont l’arrêté du 25 juillet 1910 (qui fixe la liste des termes grammaticaux dont la connaissance est exigible dans les examens et concours de l’enseignement primaire et de l’enseignement secondaire) ainsi que la circulaire du 28 septembre 1910 et la note du 21 mars 1911 (qui précisent la manière dont doit être mis en œuvre l’arrêté). L’étude soulève des enjeux politiques, théoriques et épistémologiques : la simplification et l’unification des nomenclatures grammaticales répond à la volonté de l’État d’améliorer la maitrise de la langue nationale et d’unifier son enseignement sur tout le territoire ; l’élaboration de la nomenclature révèle les problèmes posés par l’analyse des constructions verbales et de la phrase complexe au début du XXe siècle ; la réforme des nomenclatures met en lumière la tension entre un idéal terminologique et la réalité des pratiques. Ces enjeux croisent à tous moments des questionnements d’ordre didactique : sur la place d’un enseignement explicite de la grammaire dans l’enseignement de la langue, sur les relations que les savoirs scolaires entretiennent avec les savoirs savants ou encore sur les limitations imposées par ce qui peut être enseigné.
- Disicipline
- Sciences du langage
- Date
- Soutenue le 09/12/2017
- Sous la direction de
- Jean-Marie Fournier
- Organisme
- Sorbonne Paris Cité
- École doctorale Langage et langues (Paris)
